Bonjour à tous,
Nous avons bien l'intention de revenir sur Etosha...mais pas cette année !
Comme certains l'ont sans doute remarqué, notre cadence "escargotesque" s'est sensiblement accélérée depuis le Zimbabwe.
Cela n'a rien à voir avec une quelconque envie de faire des kilomètres, mais bien de quitter assez rapidement des zones où les températures deviennent franchement insupportables, de jour bien sûr, mais surtout de nuit.
36°C sans un souffle d'air pour dormir, c'est trop, et on ne dort plus. Du coup, les journées à 45° et plus deviennent bien plus difficiles à supporter lorsque l'on ne parvient plus à dormir.
Je regrette de devoir avancer à une allure que nous n'apprécions ni l'un ni l'autre, mais nous n'avons pas d'autre choix.
De plus, nous voudrions échapper à la saison des pluies qui ne devrait pas tarder à débuter.
Depuis 1 mois, tous les locaux, qu'ils soient Botswanais, Zimbabwéens ou Namibiens nous disent tous la même chose: la pluie devient une urgence vitale.
Il n'a pas plu ici depuis...novembre 2015. Pas une seule goutte.
La sécheresse est devenu le sujet de conversation de tous, et tous attendent les premières pluies avec une anxiété palpable.
C'est la 3ème année consécutive où le déficit en pluie se fait dramatiquement sentir, et cette année est pire que les autres.
Aussi, même si nous préférerions ne pas entrer dans la saison des pluies avant 1 mois (du fait de notre pseudo-programme pour les 15 jours à venir !), nous comprenons parfaitement ce que vivent les autochtones, hommes et bêtes confondus.
En attendant, farniente à Oppi-Koppi !
Bonne journée à tous,
Co. (qui va essayer de bloguer !)
) de Oppi-Koppi ?
Je dirai même plus : très, très impressionnant ! Je n'aurais pas aimé être dessous.
