Féroé et Islande 2020
Posté : sam. 11 juil. 2020 12:15
En route pour le Danemark et les Féroé.
Journal de bord sur notre voyage vers l’Islande en passant par les iles Féroé où nous faisons escale pour une semaine.
Départ de Charente Maritime sous une bonne chaleur et beau temps.
Pour éviter la région parisienne nous passons par Limoges, Montluçon, Chalon sur Saone, Besançon et Mulhouse.
Passage de la frontière allemande sans aucun arrêt, sans voir de police ou de douane.
Nous remontons les autoroutes allemandes en passant par Karlsruhe, Frankfurt am Main et Hannover.
Les autoroutes en Allemagne ont l’avantage d’être gratuites mais très chargées en circulation avec souvent des ralentissements dus à des travaux. La moyenne prévue tombe sensiblement.
La conduite est stressante quand il n’y a que deux voies, agréable quand il y en a trois. La qualité du revêtement est souvent mauvaise et bruyante.
Les trois voies sont plus récentes et de meilleure qualité. La voie de droite est pour ceux qui roulent à moins de 100, la voie du milieu pour ceux qui roulent entre 110 et 130, et la voie de gauche est parcourue par les bolides qui déboulent à plus de 160. Il faut s’adapter.
Par moment la vitesse est limitée à 120, à 60 ou 80 quand il y a des travaux. Et il y en a beaucoup !
Nous faisons le plein de GO à Flensburg avant la frontière danoise car je crois que les carburants sont plus chers au Danemark.
En Allemagne le Diesel est entre &,05 et 1,07 € le litre. (prix fin juin 2020).
Arrivée vers 12 h à la frontière danoise avec très peu de circulation.
Toutes les voitures sont arrêtées. Un policier nous demande nos papiers et où nous allons.
Je lui dit que nous allons prendre le bateau à Hirtshals pour les Féroé et l’Islande demain à 11 h 30.
Il me dit que selon les lois actuelles dues au Covid 19, nous devons nous rendre directement à l’embarquement.
Il veut savoir où nous allons passer la nuit.
Je lui réponds au camping d’Hirtshals.
Normalement il faut avoir une location de 6 jours minimum pour entrer mais il nous laisse repartir sans plus de difficulté.
J’avais pris soin de lui montrer la copie de ma réservation de bateau avec la date et l’heure du départ.
L’autoroute au Danemark est en meilleur état qu’en Allemagne et bien qu’il n’y ait que 2 voies et beaucoup de circulation, nous roulons à allure soutenue (110-120).
Beaucoup de circulation et une troisième voie vers Aarhus. À partir d’Aalborg c’est le nord et il n’ya plus grand monde.
Depuis le départ nous n’avons pas cherché à nous promener ni à visiter, le seul but étant d’être à l’heure, voire avant l’heure, pour prendre le bateau.
Nous avions prévu une une marge d’une journée en plus et nous avons bien fait car nous avons mis plus de temps que prévu.
L’embarquement sur le Norrona était à 11 h 30 et il était demandé d’arriver 1 h 30 en avance pour les formalités.
Pour être certain d’être à l’heure nous allons passer la nuit dans le petit bois à quelques kilomètre à l’Est de l’embarcadère, avant d’arriver au camping et à la plage, celle-ci étant interdite de camping.
Comme il fallait être 1 h 30 en avance, nous sommes arrivés un peu avant vers 9 h 30 -10 h.
Il y avait déjà pas mal de monde, réparti sur 6 files. Chaque file avançait de temps en temps de 3-4 voitures.
Arrivé sous les portiques d’entrée, on nous fait un test de Corona virus au fond de la bouche avec un batonnet.
Au début ils le faisaient dans une petite baraque où il fallait se rendre à pied et faire la queue, mais vu que ça prenait trop de temps ils ont finis par s’installer dehors, malgré les bourrasques et venir faire les prélèvements à chaque voiture à travers les portières, vitres baissées.
Une fois le test fait on nous a renvoyé attendre sur un parking.
Journal de bord sur notre voyage vers l’Islande en passant par les iles Féroé où nous faisons escale pour une semaine.
Départ de Charente Maritime sous une bonne chaleur et beau temps.
Pour éviter la région parisienne nous passons par Limoges, Montluçon, Chalon sur Saone, Besançon et Mulhouse.
Passage de la frontière allemande sans aucun arrêt, sans voir de police ou de douane.
Nous remontons les autoroutes allemandes en passant par Karlsruhe, Frankfurt am Main et Hannover.
Les autoroutes en Allemagne ont l’avantage d’être gratuites mais très chargées en circulation avec souvent des ralentissements dus à des travaux. La moyenne prévue tombe sensiblement.
La conduite est stressante quand il n’y a que deux voies, agréable quand il y en a trois. La qualité du revêtement est souvent mauvaise et bruyante.
Les trois voies sont plus récentes et de meilleure qualité. La voie de droite est pour ceux qui roulent à moins de 100, la voie du milieu pour ceux qui roulent entre 110 et 130, et la voie de gauche est parcourue par les bolides qui déboulent à plus de 160. Il faut s’adapter.
Par moment la vitesse est limitée à 120, à 60 ou 80 quand il y a des travaux. Et il y en a beaucoup !
Nous faisons le plein de GO à Flensburg avant la frontière danoise car je crois que les carburants sont plus chers au Danemark.
En Allemagne le Diesel est entre &,05 et 1,07 € le litre. (prix fin juin 2020).
Arrivée vers 12 h à la frontière danoise avec très peu de circulation.
Toutes les voitures sont arrêtées. Un policier nous demande nos papiers et où nous allons.
Je lui dit que nous allons prendre le bateau à Hirtshals pour les Féroé et l’Islande demain à 11 h 30.
Il me dit que selon les lois actuelles dues au Covid 19, nous devons nous rendre directement à l’embarquement.
Il veut savoir où nous allons passer la nuit.
Je lui réponds au camping d’Hirtshals.
Normalement il faut avoir une location de 6 jours minimum pour entrer mais il nous laisse repartir sans plus de difficulté.
J’avais pris soin de lui montrer la copie de ma réservation de bateau avec la date et l’heure du départ.
L’autoroute au Danemark est en meilleur état qu’en Allemagne et bien qu’il n’y ait que 2 voies et beaucoup de circulation, nous roulons à allure soutenue (110-120).
Beaucoup de circulation et une troisième voie vers Aarhus. À partir d’Aalborg c’est le nord et il n’ya plus grand monde.
Depuis le départ nous n’avons pas cherché à nous promener ni à visiter, le seul but étant d’être à l’heure, voire avant l’heure, pour prendre le bateau.
Nous avions prévu une une marge d’une journée en plus et nous avons bien fait car nous avons mis plus de temps que prévu.
L’embarquement sur le Norrona était à 11 h 30 et il était demandé d’arriver 1 h 30 en avance pour les formalités.
Pour être certain d’être à l’heure nous allons passer la nuit dans le petit bois à quelques kilomètre à l’Est de l’embarcadère, avant d’arriver au camping et à la plage, celle-ci étant interdite de camping.
Comme il fallait être 1 h 30 en avance, nous sommes arrivés un peu avant vers 9 h 30 -10 h.
Il y avait déjà pas mal de monde, réparti sur 6 files. Chaque file avançait de temps en temps de 3-4 voitures.
Arrivé sous les portiques d’entrée, on nous fait un test de Corona virus au fond de la bouche avec un batonnet.
Au début ils le faisaient dans une petite baraque où il fallait se rendre à pied et faire la queue, mais vu que ça prenait trop de temps ils ont finis par s’installer dehors, malgré les bourrasques et venir faire les prélèvements à chaque voiture à travers les portières, vitres baissées.
Une fois le test fait on nous a renvoyé attendre sur un parking.
