Casa Trotter

Bonsoir Jacqueline,
mais nous on aime bien serrer les fesses ça évite de contrepéter
Mercredi 3 Octobre
Nous démarrons tranquillement ce matin vers 9h00

pour terminer les 37 km de cette remontée d'oued

dans lequel nous n'avons pas vu un seul véhicule,

mais à peine sur la route, le temps de s'arrêter pour faire une photo nous avons déjà croisé 3 voitures.

Cette route nous amène à un village que nous avions traversé en 2008, facilement mémorisable par son minaret tout en pierre.

La suite du parcours se déroulera dans un magnifique canyon habité d'une succession de petits villages, nous ne comptons plus le nombre de fois où nous nous sommes arrêtés pour faire des photos

profitant d'être enclavés entre deux très belles parois aux plissements incroyables,


lorsque nous quittons le fond de l'oued


ce sera pour une jolie montée qui nous amène jusqu'à un col à plus de 1800m.

Nous nous arrêtons sur le plateau pour déjeuner dans la cellule, le vent chahute notre roulotte en rafales successives.

Après une traversée de quelques kilomètres du plateau

nous entamons une descente raide pour trouver un premier village abandonné


et atteindre à nouveau le fond d'un l'oued vers 1400m dans lequel nous retrouvons des villages.

Époustouflant, les falaises nous offrent une riche palette de couleurs.

Etirés,

compressés,

laminés,

distendus,

les plissements se succèdent.


c'est certainement le plus beau parcours de notre périple.
Lorsque nous atteignons la vallée dans laquelle serpente la route, nous avons encore droit à un très beau spectacle

avec une succession de plans de différentes couleurs.


Nous poussons jusqu'à Issafen 2km après l'embranchement de la piste qui nous ramènera sur Tafraoute pour faire quelques courses ; bien qu'il soit plus de 16h00 nous ne trouvons qu'une épicerie et les bars d'ouverts ; décidément nous n'arriverons pas à remplir notre frigo.
Le début de notre piste est goudronnée, même après le village nous roulons encore sur l'asphalte, bien que nous passions sur tous les points, nous poursuivons sur la route bordée de profondes rigoles qui nous empêchent de la quitter pour nous poser pour la nuit.

Nous roulons ainsi durant 25 km remontons sur le plateau à 1800 m et finissons par prendre la seule piste accessible pour nous poser sans être en vue de la route. Mais c'est un comble d'avoir roulé toute la journée dans de superbes paysages et nous installer pour le bivouac le plus moche des vacances.

@+ pour la suite

magnifiques les plis de ces montagnes!
et c'est vrai que les bivouacs, si on veut qu'ils soient superbes, faudrait toujours les faire vers 13h

Elle est superbe cette piste, il faudra que tu nous la détail ou alors les traces
Je pense que nous ne somme pas passé loin nous avons fait la boucle de l'ait Mansour qui est aussi magnifique
Merci mouton et chris
claude

Bonjour,
Jeudi 4 Octobre
Aujourd'hui, notre plus courte étape, 61 km, entièrement goudronnée. Mon repérage était pourtant bon sur Google Earth, nous sommes passés sur tous les points exceptés trois,

mais depuis les photos aériennes ce n'est plus une piste.

Nous ne nous étendrons pas plus sur le bivouac d'hier, et ce matin nous arrivons à Tafraoute à 10h30 qui fut une de nos étapes de 2008, la ville ne semble guère avoir changé. Nous commençons par refaire le plein du véhicule auprès d'une station sympa où il nous est facile de refaire de l'eau et de regonfler les pneus. Deuxième phase importante, trouver un point internet.
Ensuite les courses, nous faisons un stock de yaourts nature (les autres sont un peu trop... chimiques), un second stock de pommes, car les compotes commencent à me sortir par les yeux et enfin il nous faut trouver les cartes postales, car depuis le début du voyage nous n'en n'avons pas vues, nous finirons par en dénicher des pas trop moches. Enfin nous irons à la recherche d'un poulet rôti, et en prime un pack d'eau gazeuse ; Ca va être un vrai festin...
Nous partons vers les rochers peints pour y installer notre bivouac,

une nouvelle fois un peu de mal à trouver du premier coup le bon accès, désormais il y a une super piste qui borde le site. Nous nous installons en surplomb un peu à l'écart de ces « œuvres d'art ».

Nous y étions passés en 2008 et les rochers nous semblaient quelque peu défraîchit mais ils ont repassé un coup de peinture dessus il y a peu car il y a encore beaucoup de projections de peinture au sol.

Deux rochers repeints récemment sont tagués,


juste retour des choses car comment expliquer à des jeunes qu'il ne faut pas peindre sur des murs ou des rochers et laisser un pseudo artiste recouvrir intégralement de couleur shamalow des blocs.


Lorsque le soleil a disparu j'en profite pour reprendre sur le tableur toutes nos dépenses des vacances, évidemment gros budget carburant, cette année nous avons noté les volumes à chaque plein et après avoir corrigé une erreur de calcul,

nous sommes en dessous des 11.5 l/100 ce qui me semble très correct en regard des pistes que nous avons empruntées.

@+ pour la suite

Bonjour,
des tags on en trouve partout
cela détruit le regard .
Claude

Bonsoir,
...la suite
Vendredi 5 Octobre
Hier, juste à la cassure du plateau nous avions vu une piste par laquelle était indiqué Tafraout, nous avons regardé la carte et allons l'emprunter au lieu de remonter par la route. Si les 5 premiers kilomètres sont du billard, la suite s'avère épouvantable, elle n'est plus fréquentée et au bout de deux kilomètres nous sommes contraints de faire demi-tour,

une crue a emporté une partie du chemin. Nous redescendons donc sur Tafraoute que nous quittons à 11h30, ce qui est un bon début,

nous refaisons la fin de la route d'hier poussons un peu plus vers le nord pour atteindre le début de la piste qui devrait nous mener à Taroudant.

Pour une fois nous trouvons immédiatement le départ, dépassons les premiers kilomètres qui servent un peu de décharge et nous installons pour notre petit repas.

Le début se fait dans un oued


et lorsque nous le quittons pour atteindre un plateau nous découvrons beaucoup de vert,

ce n'est pas uniquement la végétation mais les pierres qui accentuent cette couleur.

L'ambiance est beaucoup moins sauvage et austère que les jours précédents, s'en est presque reposant.


Il n'y aura qu'au bout d'une quarantaine de kilomètres,



que nous emprunterons une descente assez « moyenne » et non fréquentée pour atteindre le fond de l'oued

où nous nous embêtons un peu avec les amandiers qui bordent les traces

et dont un particulièrement qui laissera ses empreintes sur toute la longueur de la cellule ; puis c'est la remontée dans le village au bout de la piste, où nous retrouvons le goudron et une certaine animosité de la part des gamins.

Il ne nous reste plus qu'à trouver un lieu pour la nuit, encore une fois pas facile avec ces nouvelles routes bordées de caniveaux profonds qui nous empêchent de nous éloigner ; de plus nous traversons une succession de villages ;

enfin juste au moment où nous allons attaquer la grande descente vers la plaine du Sous,

une possibilité de nous mettre un peu à l'écart et pas trop en vue de la route. Il est bientôt 18h00 le lieu fera notre affaire.


Notre bivouac le lendemain matin
@+ pour la suite

Avec toutes ces images tu nous mets l'eau à la Babouche

Bonsoir,
Samedi 6 Octobre
Lors du petit déjeuner, je soumets l'idée à Chris de remonter par le Dadès, nous regardons plus précisément ce que cela représente sur la carte. Idée retenue, nous filons donc jusqu'à Taroudant, faisons le plein et partons plein Est pour remonter la vallée du Sous, sans aucun intérêt excepté un vol de cigognes, jusqu'à Aoulouz, gros bourg plein d'activités.

Un peu au nord de la ville nous quittons les grands axes pour emprunter une petite route qui se transforme en piste en arrivant sur un barrage, qui une fois de plus n'est pas sur nos cartes ; si le début n'a rien d'exceptionnel, dès l'après-midi, en prenant de l'altitude

nous retrouvons les paysages que nous aimons bien,

nous sommes sur les contreforts sud du Haut Atlas

et roulons bientôt au dessus de 1800 mètres.

Un peu avant 16h00 nous atteignons Askaoun

gros village au croisement de deux pistes au milieu de ce plateau,

nous enchaînons la seconde partie pour aller bivouaquer vers les cols ; hélas un kilomètre plus loin nous constatons que la piste n'est plus fréquentée et dans un état trialisant.

Chris pousse un peu plus loin à pied pour voir si elle ne voit pas une piste qui viendrait du nord ou du sud et contournerait ce passage, mais rien.

Il nous faut faire demi-tour, nous allons essayer une piste que nous avons vue et qui semble boucler un peu plus loin vers les cols , ça ne passe pas non plus, elle nous amène à un village et se poursuit uniquement à pied ou à cheval.
Ce n'était pas un gros détour, nous revenons sur Askaoun et partons plein nord par une piste qui rejoint la route Marrakech Ouarzazate sur nos cartes en espérant trouver rapidement un coin pour le bivouac ; hélas les dieux nous abandonnent, nous partons sur le mauvais temps,

les hameaux s'enchaînent au fil des creux jusqu'à ce que nous atteignons enfin le dernier village à plus de 2000 mètres pour nous retrouver sur une piste de plus en plus bosselée et devenant impraticable une fois une grosse antenne dépassée. Nous trouvons une petite plateforme avec vue et essayons de nous caler horizontalement tandis qu'il se met à pleuvoir.

Il ne faudrait pas que nous prenions un gros orage au risque de ne pas pouvoir rebrousser chemin.

Demain il nous faudra refaire cette dernière quinzaine de km pour retrouver la fin de la route à Askaoun et récupérer la nationale à Taliouine.
Il faut espérer que nous n'aurons pas d'autres mauvaises surprises d'ici Tanger.
@+ pour la suite

Bonsoir,
...la suite
Dimanche 7 Octobre

Très bonne idée d'avoir baissé le toit pour la nuit, à 7h00 il ne fait que 15°C dans la cellule. Nous nous préparons et allons faire un petit tour à pied avant de partir ;

nous nous sommes arrêtés au bon endroit un peu plus haut la piste devient vraiment incertaine et déjà traversée par de profondes ravines dues à de grosses pluies. Il y a un léger voile de neige sur le sommet du Toubkal

lorsque nous quittons à 8h30, un peu à regret cette piste qui ne nous a menés nulle part. Les 15 km qui nous séparent d' Askaoun se font plus rapidement que nous l'avions imaginé, nous regonflons puisqu'il ne nous reste plus que du goudron et nous attaquons la descente vers Taliouine, nous roulons encore assez longtemps sur le plateau,

mais dès que nous apercevons la vallée, le GPS déroule des centaines de mètres de dénivellation.


A Tazenakht, que nous atteignons un peu avant midi nous cherchons une piste qui nous permettrait de rejoindre Ouarzazate en dehors du goudron, mais nous tournons un peu sans rien trouver de bien probant, donc ce sera la route. Nous faisons la pose repas à un petit col,

ensuite le paysage est plus varié.

A Anezal, le village que nous aurions dû atteindre par la piste en passant par les cols, nous voyons un panneau qui indique encore Askaoun à 89 km. Les kilomètres défilent rapidement

et nous sommes déjà à Ouarzazate, un petit plein, la ville semble encore s'être agrandie depuis notre passage en 2008, mais dans le centre ville tout est fermé en ce début d'après midi.
La route du Dadès est agréable, il fait 28°C, nous avons le soleil derrière nous et nous écoutons Lavilliers, dans la traversée d'un village un gendarme s'extraie du bord de la route pour nous stopper, -Bonjour Monsieur, passeport, permis de conduire, vous rouliez à 71 km/h- comment nier, je ne pense pas mais je vais essayer de la jouer humble, -vous avez 300 Dirhams- je sors de ma pochette un billet de 200 et un de 100, le gendarme sourit, me regarde, me redonne 200, -et ne vous fiez pas au GPS, les villages sont plus importants aujourd'hui, bonnes vacances.- Ca sent fortement le racket.
Bientôt la densité de maison est plus importante, nous sommes dans l'eau de rose jusqu'à Boumalne, nous attaquons les gorges, ça construit de partout, il y a pléthore de gites, chambre d'hôtes et hôtels, mais le cadre est toujours remarquable,

enfin nous passons le petit défilé, les villages s'espacent un peu, encore un gros et juste après un ultime raidillon, je vois un accès à une antenne, plus de village à l'horizon, c'est bon nous nous posons 200m au dessus de la route avec un super panorama,


vite deux trois photos pour profiter de la jolie lumière du soir,

il était temps, le soleil va bientôt disparaître. Nous arrivons à nous placer horizontalement au premier essai, vite on sort la tente de douche, un quart d'heure après être arrivés,

nous avons pris la douche et la tente est déjà rangée. Chris râle un peu, car il y a encore quelques camions qui remontent cette route bien qu'il fasse nuit depuis plus d'une heure.
@+ pour la suite

M'sieur, M'sieur, on voit pas les photos !!! On n'a que des sens interdits !

idem

Bonsoir,
??????????????????????
ça remarche, pourtant j'avais pas touché aux paramètres de partage
bonne lecture et rincez vous les zyeux
@+

mouton a écrit :Bonsoir,
??????????????????????
ça remarche, pourtant j'avais pas touché aux paramètres de partage
bonne lecture et rincez vous les zyeux
@+

Pour moi, ça marche. Beau reportage que tu nous fait partager.
Merci.

Jean-Lau

Voui, Gilles, ça marche maintenant ! Et merci !
Je vais me rincer les z'yeux !

et z.... ça refonctionne!!! avec tes ^$*ùµ%¨£ de photos on se sent obligés de retourner soigner notre maroccocose au printemps
merci de passer tt ce temps pour que nous puissions partager tes bons moments.

Pour moi ça marche très bien, pas besoin de me rincer les yeux mais c'est peut-être parce que je suis un fan absolu de môsieur mouton
bon réveillons à tous et buvez pas trop car s'il faut déjà vous rincer les yeux qu'est-ce que ce sera demain ouf! ouf! ouf!

Merci encore pour ce très beau compte-rendu avec ses magnifiques photos.

Bonjour,
Lundi 8 Octobre
Les camions marocains commencent à circuler de bonne heure, nous prenons donc notre petit déjeuner à 7h00 et quittons ce bel emplacement de bivouac

pour lequel ma chérie ne donne que 3* à cause de la route (tous nos bivouacs sont notés de 0 à 5). Toute la remontée jusqu'à la jonction avec la route Imilchil – Todra est magnifique,

de superbes panoramas,


nous passons un col à plus de 2900 mètres et serpentons dans des petits vallons successifs aux couleurs surprenantes.
Pour notre dernière piste c'est un régal ;


nous rencontrerons un couple de bretons en compagnie d'un couple marocain qui circulent dans un gros Man, discussion sympa sur le bord de la piste

avant que chacun ne reprenne sa route.


Seul inconvénient, pas mal de circulation sur cette piste,

nous qui étions habitués à être seuls,

des espagnols à moto en général.

L'arrivée à Agoudal est surprenante des nuées de gamins qui sortent de partout pour vous courir après

et vous réclamer stylo et bonbon.


Nous pousserons jusqu'au lac d'Imilchil pour manger,

il est déjà 13h00 et nos estomacs se font entendre. La route est dans l'ensemble très bonne même si la vitesse reste relative ;

à Tizi n'Isly il nous faut faire un choix, droite car ça semble plus court, mais à Aghbala nous nous posons des questions car toute la traversée de la ville se fait dans la terre et la poussière, mais à l'autre extrémité nous retrouvons le goudron, oh pas trop, juste la largeur pour une voiture, parfois il faut vraiment viser

mais nous rejoindrons la nationale pour Khenifra sans problème.
Comme d'habitude, le plein, trois courses et nous quittons la ville, nous voulons remonter sur Azrou par des petites routes qui traversent la forêt de cèdres. Au bout d'une quinzaine de km nous sommes effectivement en pleine forêt mais elle est très dense, les deux premières clairières que nous voyons sont occupées par des nomades, à la troisième nous voulons nous mettre un peu hors de portée de la route, mais la seule piste qui ne s'enfonce pas dans la forêt est trop ravinée, nous nous posons sur une bosse, il ne devrait plus y avoir trop de voitures étant donné qu'il est déjà 18h30, le cadre est plutôt agréable ; c'est déjà notre avant-dernier bivouac.

@+ pour la suite

Bonjour,
Mardi 9 Octobre
Il ne fait pas chaud, 14°C dans la cellule. Chris va conduire aujourd'hui ; nous aurions du pousser un peu plus loin pour le bivouac hier soir, cette partie est nettement plus dégagée que l'entrée dans la forêt qui était resserrée. La route n'est jamais très large mais bonne dans l'ensemble. Les sources de l'Oum er Rbia nous surprennent par leur débit, ainsi que le village à proximité qui semble drainer pas mal de touristes à certaines périodes, il suffit de regarder le nombre de toilettes publiques.

Nous traversons Azrou, qui comme Ifrane sa voisine a une architecture très différente de tout ce qu'on peut rencontrer au Maroc. Nous nous arrêtons un peu avant Meknès pour déjeuner dans un champs d'oliviers. Une fois de plus nous ne nous éterniserons pas dans la ville,


Chris préfère cette médina à celle de Fès,

car plus propre et les marchands n'harcèlent pas le touriste.

Pour ma part je préfère Fès, un côté plus authentique même si ça ne sentait pas toujours très bon.


D'après la carte nous devrions trouver un joli bivouac, eh oui c'est déjà le dernier, en prenant une petite route qui doit mener sur la ligne de crête juste avant Moulay Idriss, nous trouvons assez facilement mais la crête a été aménagée avec des tables de pique nique et des chemins de rando et le parking, sur lequel il n'y a personne, n'offre aucune vue alors que nous sommes dans un cadre fort agréable. Nous décidons de redescendre vers Moulay Idriss, mais au bout de 2km un marocain nous indique que la route est coupée, qu'il nous faut faire demi-tour. Nous revenons donc sur nos pas et nous planterons pour notre dernier soir dans un champs d'oliviers au dessus d'un village qui nous offre un concert d'aboiements, au moins nous avons la vue sur Meknès.


Mercredi 10 Octobre
Ce dernier bivouac ne sera pas le plus calme, nous aurons droit à plusieurs récitals d'aboiements durant la nuit. Résultat ce matin nous ne sommes pas trop vaillants et traînons un peu dans nos préparatifs....
ensuite plus rien de très passionnant.... excepté un marchand de poteries avant Tétouan prix défiants toute concurrence.
il nous faudra quasiment 5h pour venir à bout des différents contrôles, scanner du véhicule et N vérifications de passeports entre notre arrivée au port et notre arrivée dans la cabine.

Jeudi 11 Octobre
traversée Tanger - Barcelone à bord du Spendid, copie conforme au Majestic, notre bateau de l'aller mais bien plus propre et une cabine plus large.


Vendredi 12 octobre
Barcelone, débarquement à 8h00, sortie du port sans contrôle en moins de 5mn.

une matinée pluvieuse,

fête nationale,

nous traînons un peu sur les ramblas

un petit bar à tapas et en début d'après midi nous filerons vers la maison. Et voilà c'est fini

On a encore fait, grâce à toi, un beau voyage !

Encore un très beau voyage : MERCI

Bonjour Chris & Gilles,


Merci pour ce beau reportage de votre voyage au Maroc, j'ai eu plaisir à revoir et découvrir des régions fort belles, à cette saison les couleurs ressortent bien je trouve. Cled va prendre la relève maintenant

Bonne journée et Bonnes Fêtes

Bernard

Ben Didon, super voyage félicitations à vous deux, comme le dit Bernard maintenant il faut que je m'y colle, donc à bientôt
Après les fêtes comme ça on aura digéré et j'ai encore du boulot, bon! Maintenant y à plus k !!
Encore bravo et félicitations, j'y retourne de temps en temps ça me remet en forme.
Claude

Un compte-rendu de voyage au goût inimitable, voilà le talent de Mouton et de sa coéquipière pour nous extirper de notre torpeur hivernale...

Merci à eux !

BOnsoir,
merci ce fut un plaisir de vous faire partager notre périple et par là même de le revivre.
Peut être cela donnera envie à ceux qui n'ont pas encore osé partir seul à la découverte de ce pays d'y aller sans trop d'appréhension.
si vous avez envie de profiter des photos de ce post et d'autres en plein écran sans blabla
https://plus.google.com/photos/10814897 ... 9412032673
puis cliquez sur diaporama et sur la touche F11
@+

PS1 prévoyez un peu de temps il y a plus de 500
PS2 Cled, nous attendons ton récit avec impatience, mais ne te sens pas obligé de poster trop de photos

PS3 Pour 2013 notre projet actuel s'est arrêté sur la Crête suite au CR de Fernand la-crete-octobre-2012-t3349.html et pour vous quels sont vos projets???