Merci Clément mais on a trouvé.
J'ai du aller voir celui dont tu parles mais il m'a renvoyé ailleurs.
Cellule Loge Mobile Polycomposit, type Mangue, montée fixe sur Toyota Land Cruiser 100 derrière les sièges avant avec passage vers l'arrière. Depuis 2023 cellule Hymer MLT 570 sur Mercedes Sprinter 4x4
Il a plut un peu pendant la nuit. Ce matin le temps est gris avec par moment une petite pluie.
Départ à 10 h pour le garage Blufell de l’autre coté de la rivière-lac par le pont en bois. Avant tout vérifier si cela vient du contacteur ou de la pompe elle-même.
En fait c’est bien la pompe qui est HS.
Temps de réparation 1 h 30 en regardant l’éruption du volcan en direct sur un écran d’ordinateur dans l’atelier.
Vu sur leur parking cette jolie transformation de Suzuki Jimny :
À propos, aparté, quelqu'un peut-il me dire à quoi correspond le numéro sur la plaque minéralogique islandaise situé au dessus de l'année, par exemple sur cette Suzuki 22 au-dessus de 2021 entre IB et 259 ? J'ai pensé que c'était peut-être la région ?
À midi nous quittons le garage pour aller manger un burger au N 1 en ville puis nous partons voir les macareux à Bakkagerdi.
De la pluie sur la route et même une averse de grêle en route en montant un col et une petite pluie en arrivant à Bakkagerdi.
Nous allons au port de Höfn où il y a une grande quantité de macareux qui nichent dans la falaise.
Il y a même une petite maison d’observation pour se mettre à l’abri du vent incessant et froid avec des chaises et un radiateur électrique !
Dehors il fait 5° et le vent est fort mais la pluie a cessé.
Nous faisons de nombreuses photos depuis l’intérieur de l’abri et aussi dehors en plein vent.
En fin de journée vers 19 h le temps se gâte. Nous repartons à Egilsstadir au camping, car celui de Bakkagerdi est balayé par les vents.
Parcours du jour : 161 km
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Encore une journée froide et grise. 7° et du vent.
Nous prenons la route 95 puis une gravel road, la 939, pour rejoindre la côte vers Djúpivogur. Un peu avant de quitter la 95, jolie cascade sur la droite dans un petit canyon.
Puis c’est la piste 939 qui est facile même pour ceux qui n’ont pas de 4x4.
Nous suivons la côte jusqu’à Höfn.
Pas loin de la route 1 nous rencontrons quelques rênes sauvages.
Nous nous arrêtons au camping de Höfn en plein vent.
Parcours du jour : 186 km
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Un vrai temps islandais...
Il n'y a pas tant de neige que ça, excepté la montée de Seydisfjordur, évidemment !
Contente que votre problème de pompe soit réglé, bonne continuation.
Commencer l'Islande avec les macareux c'est une belle option !
Pour la manip avec la bouteille de gaz, c'est pour pouvoir la remplir plus facilement ? Ou on vous a demander de vider votre bouteille en montant dans le ferry ?
Bakkagerdi est seulement à 1 h 30 de route d'Egilsstadir, y a pas de raison de se priver.
Attention pour ceux qui arrivent en juillet, souvent les macareux sont repartis en mer dès le début du mois d'août.
Pour la bouteille de gaz c'est pour pouvoir la changer quand elle sera vide, car 3 mois avec le chauffage souvent allumé la nuit, une bouteille risque de ne pas suffir. N 1 est la marque la plus répandue et quand on arrive ou quand on repart on passe toujours devant cette station. Ils ont l'habitude de garder les bouteilles des touristes en campers.
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Pluie et vent dans la nuit. Ce matin temps gris 3 à 5 degrés, petite pluie.
Vers 13 h nous arrivons au Jökulsárlón sous un mélange de pluie et de neige mouillée. Il fait 3°.
Un gros iceberg s’est détaché du glacier et est proche de nous.
un ménage à trois ?
Le chenal qui vide le lac vers la mer est bloqué par un barrage de gros glaçons qui s’entrechoquent dans le courant.
Il y a plein de morceaux de glace qui sont ramenés par la mer sur les deux rives de Diamond Beach.
Nous reprenons la route pour atteindre Vik í Myrdal.
Pour ceux qui souffrent des odeurs de WC dans leurs véhicules, voici la solution :
L'église de Vik domine le village environnée de montagnes recouvertes de neige fraiche.
Sur la plage la mer forme de gros rouleaux. Malgré le vent et le froid, quelques réchauffés se mettent en maillot de bain et font semblant d’être au soleil. Mais ils sont petits joueurs, ils ne vont pas dans l’eau…
Nous arrêtons au camping de Selfoss à 22 h 30.
Parcours du jour : 429 km
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C'est tout à fait ça.
Il y avait un créneau de beau temps d'une journée à la météo locale, nous en avons profité. En plein...
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Ce matin, temps gris 7° - 9°, peu de vent.
Nous partons faire nos courses à Selfoss pour préparer la rando au volcan car il y a du beau temps d’annoncé pour la journée.
Il faut en profiter ! À 11 h 30 le soleil apparait. Nous traversons de petites averses sur la route vers Þorlákshöfn avant d’arriver sur le site du volcan.
Le ciel est grand bleu, le soleil brille.
En fait il fera super beau toute la journée jusqu’à minuit sur le site du volcan Fagradalsfjall.
On s’arrête au premier grand parking sur la droite, il y a déjà du monde de parqués dans l’herbe.
La flèche montre la fumée du volcan depuis le parking.
On fait nos sacs et on démarre à 13 h 40.
Attention à bien respecter les règles !
Au bout d’une heure d’un chemin facile en faible montée, on arrive à un premier embranchement.
Nous prenons à gauche selon la flèche qui nous le recommande. Sans le savoir c’est la meilleure solution pour qui est bon marcheur. Le chemin de droite mène à la vallée dans laquelle toute la lave se déverse. J’y passerai en fin de rando.
-> Les renseignements que je donne seront peut être à interpréter par ceux qui auraient l’occasion de faire de même, car ente temps avec toute la lave qui se déverse, il est possible que certains chemins soient fermés ou coupés, et d’autres mis en place <-
Encore plus loin avant de traverser une vallée de pierres et de mousses, un second embranchement, plus ou moins barré avec un panneau indiquant que l’accès est dangereux.
Pour celui qui ne veut pas faire la montée escarpée et difficile vers le volcan, c’est là qu’il faut prendre à droite. On arrive alors à un endroit où des pelleteuses essaient de faire un rempart à la lave et un nouveau chemin d’accès pour les visiteurs.
De là on peut soit aller vers le volcan en montant à travers la montagne, soit c’est le plus intéressant admirer les rivières de lave qui coulent à gros flots (12 mètres cubes par seconde) vers nous.
Il y a un chemin à droite qui est fermé mais que beaucoup prennent, soit en descendant vers le bas de la vallée où la lave se déverse, soit en remontant pour ceux qui arrivent du premier rencontré à droite.
Pour ma part, je continue la randonnée la plus longue, celle qui permet de se rapprocher du volcan.
Il faut traverser ce champ de pierres et de mousses.
La progression n’est pas très aisée car il faut bien choisir où on met les pieds si on ne veut pas se tordre les chevilles. (les temps de rando et les appréciations sur la facilité, sont estimés par moi, jeune septuagénaire. Les plus jeunes de 20 ou 30 ans de moins et de 20 ou 30 kilos de moins, auront bien sur plus de facilités et mettront moins de temps…)
Une fois sorti de ce champ de pierres le chemin commence une montée assez raide et délicate.
Nous avons pris notre repas de midi vers 15 h 30 avant cette ascension. Cela fait 2 heures que nous marchons, à petite vitesse car nous sommes souvent doublés par des plus jeunes et plus sportifs.
L’ascension devient trop difficile pour mon épouse qui fait demi tour au bout du premier quart. Je l’aide à redescendre car en descendant on glisse facilement.
Puis je reprends la montée du chemin qui se termine avec une corde tendue pour s’agripper pour monter. Ce sera encore plus difficile pour redescendre par là.
Arrivé en haut la trace continue en faible montée à travers une zone de mousses et pierres, plus facile qu’en bas. Le chemin est signalé avec des piquets jaunes de temps en temps.
La fumée du volcan en activité apparait au dessus de la crête et indique bien où aller. Le temps semble long, toujours pas de volcan en vue.
Enfin j’arrive en haut de la crête et je découvre le volcan. Le panorama englobe toute les vallées aux alentours, remplies de la lave qui coule depuis le 19 mars, date de l’éruption.
Mais bien que le volcan soit toujours en activité depuis cette date, l’éruption est à peine visible. De temps en temps, au gré des changements des bruits sourds du volcan, on voit de la lave jaillir au dessus du cône du volcan.
Depuis quelques jours toute la lave se déverse par des tunnels recouverts de lave durcie.
Le paysage est grandiose bien qu’un peu décevant car on ne voit plus les projections de lave qui atteignaient jusqu'à 400 m de haut !
Une dizaine de jours auparavant les jets du volcan étaient visibles depuis Reykjavik et Grendavik.
Voyant des gens sur les crêtes vers la droite, je décide de les rejoindre pour avoir d’autres points de vue.
Il n’y a pas de chemin tracé et il me faut progresser doucement à travers les pierres, les trous et la mousse. J’avance lentement en jetant un coup d’oeil de temps en temps en arrière pour voir s’il y a des projections visibles.
La lave tout en bas de la vallée est presque noire ou grise partout, seuls quelques points rouges montrent qu’il y a une activité souterraine,ainsi que des fumées provoquées par l’embrasement des mousses brûlées par lave qui monte inexorablement.
Tout en conservant la même altitude, j’arrive à un virage que fait le fleuve de lave. Je continue toujours dans l’espoir de voir les coulées de lave rougeoyante que j’ai vues sur YouTube.
Enfin, à force de continuer j’y arrive. C’est FA-BU-LEUX.
Des coulées de lave rouge et incandescente se déversent en cascade vers le bas de la seconde vallée.
À partir d’ici la vue est superbe et on ressent la chaleur de la lave en fusion. On se croirait devant d’une cheminée allumée près des flammes.
Je vais suivre tout le long ce fleuve rouge et noir jusqu’au bas de la vallée.
À un moment je rejoins le second chemin, celui qui est avant le champ de pierres.
Il y a beaucoup de monde pour admirer le spectacle.
Bien qu’il soit marqué fermé, je suis le chemin qui descend tout en bas où arrive la lave. D’en haut j’ai vu que beaucoup de monde le prenait, soit en descendant comme je vais faire, mais aussi en montant pour ceux qui sont arrivés par le premier chemin.
Le fleuve de lave coule à grande vitesse car il dévale des pentes abruptes. Un peu avant la fin de la coulée, il me faut traverser un feu de mousses. Je prends un peu au large pour essayer d’être le plus loin possible des fumées.
Arrivé tout en bas, la lave s'est solidifiée en prenant toutes sortes de forme et en créant des drapés de pierre.
Je prends un large chemin en faible pente qui va me ramener en un heure environ au parking ou je suis garé.
Il est 22 h 30 et de nouvelles gens arrivent encore pour faire la randonnée. Comme il fait encore clair, on peut marcher toute la nuit. Nous décidons de passer la nuit sur place sur le parking.
Photo prise à minuit du “coucher du soleil” :
Parcours du jour, en voiture : 81 km
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Je te remercie pour ce beau reportage photos sur ce volcan et ses coulées de laves . Hormis les odeurs et fumées de mousses consumées, sent-on des odeurs style souffre, ou autres ? On se sent petit vis à vis de ces puissants éléments.
Bonne poursuite de votre voyage avec d'aussi beaux ciels.
On ne sent pas le souffre, seulement un parfum indéfinissable hormis quand il y a des feux de mousses.
Le premier chemin qui mène au fond de la vallée où se déverse la lave peut être difficile à prendre si le vent rabat les fumées des feux de mousse.
C'était le cas le jour suivant de notre passage. Dans ce cas le chemin risque d'être interdit.
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merci pour ce superbe compte rendu sur votre voyage en Islande.
De superbe photos avec des commentaires précis, c'est TOP
Cela me rappelle notre périple de 2018: viewtopic.php?f=27&t=10715 et nous donnes une folle envie d'y retourner....
Ce matin, beau temps mais frais 8 - 9°
Nous quittons le parking du volcan où nous avons passé le reste de la nuit et nous nous dirigeons vers Grindavik, la ville la plus proche.
Après la longue marche d’hier, ce sera une journée calme.
Une faille naturelle près de la route 425 à la sortie de Grindavik :
Nous allons faire un tour au Blue Lagoon.
Les tarifs et l’ambiance club de riches nous gonflent et nous repartons, direction deux “piscines” naturelles crées dans les rochers de lave en bordure de la mer, Brimketill.
Elles se remplissent au gré des vagues mais je ne pense pas que quelqu’un, même hardi, ai envie de s’y baigner. Aussi bien à cause de la température de l’eau que de l’accès qui est difficile avec les vagues. Mais ça vaut le coup d’oeil.
Nous poursuivons vers le complexe géothermal de Gunnuhver
Nous y sommes déjà allé et pris des photos l’année dernière.
Puis nous retournons au phare de la pointe de Reykjanesta saluer le grand pingouin, toujours fidèle au poste.
Arrêt de bonne heure au camping de Grindavik avec vue sur le volcan qui fume toujours.
Parcours du jour : 86 km
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Très beau temps aujourd’hui mais toujours du vent, 7°
Ce midi déjeuner chez Papa’s, un restaurant de Grindavik entre le camping et le port. Pour moi ce sera une excellente pizza aux langoustines et au mesclun, pour Anne-Marie un très bon fish and ships.
Nous prenons la route 47 vers Krysuvik découvrir une petite église noire perdue dans la nature et les moutons.
Arrêt au lac Graenvatn d’un beau vert turquoise.
Visite de l’aire géothermique de Seltün, petite mais variée et bien aménagée.
Nous poursuivons cette route 47 et longeons le très beau lac Kleiffarvatn avec des plages de sable et de très beaux rochers. Manque juste le soleil…
Un peu plus loin avant d’arriver à Hafnarfjördur, découverte d’un site avec de nombreux séchoirs à poissons.
Surtout des têtes mais aussi des poissons entiers avec même quelques morues de très belles tailles.
Il semble que le site soit sous surveillance car 5 à 10 minutes après que nous sommes là, un gros camion , sans remorque, arrive et il ne repartira qu’après que nous ayons quitté les lieux. Ça nous a rappelé le film Duel de Spielberg, heureusement pas avec la même fin, bien qu’il nous ai suivit sur la route pendant un moment.
Le port d’Hafnarfjördur
Puis retour à Reykjavik au camping de la ville. Le vent a cessé.
Parcours du jour : 101 km
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C'est un coin intéressant aussi, cette péninsule autour de Grindavik. En 1988, nous avions dormi dans un "hôtel" pour travailleurs étrangers pour les pêcheries.
Espérons que la lave ne coupera pas les accès !
Bonjour et merci pour ce compte-rendu que je découvre et vais suivre, cela me rappellera des souvenirs.
Dommage pour les couchettes dans les cales du bateau. On y dormait bien et pour pas cher, tant pis.
Et vous me direz par rapport aux bivouacs car en principe c'est maintenant interdit. Bizarre d'ailleurs que vous ayez pou dormir sur la parking du volcan. Tant mieux pour vous
Hier nous avons fait la piste 622 depuis Dynangi jusqu'à Þingeyri sous un très grand soleil (description dans quelques jours).
Arrivés à Þingeyri à 23 h30 nous avons cherché le camping sans le trouver. Nous avons bivouaqué 3 km après le village près de la route.
Le lendemain en retournant dans Þingeyri, nous avons trouvé le camping, il était tout près de l'église.
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Nous quittons le camping de Reykjavik pour visiter la ville.
On voit un grand voilier ultra moderne à l’ancre au loin du port.
Nous commençons par la Recycled House, rue Laugarnestangi en bord de mer à l’Est de la ville.
Comme son nom l’indique elle a été construite avec des matériaux de récupération divers.
C’est un véritable bric à brac. Un rêve de doux dingue.
Ce lieu jouxte le Sigurjón Ólafsson Museum.
On passe devant le Voyageur du Soleil, symbolisé par un drakkar d’aluminium.
On va se garer non loin de Harpa, devant lequel joue une fanfare.
Aujourd’hui c’est la fête nationale islandaise proclamée le 17 Juin 1944, date depuis laquelle l’Islande n’est plus sous domination danoise.
Les gens se promènent en famille avec des drapeaux islandais. Certaines personnes en costume de ville ou des femmes en costume traditionnel.
Nous arpentons les petites rues de la vieille ville très passantes aujourd’hui.
Un défilé avec des cracheurs de feu aux allures gothiques et des sirènes attirent la foule. Sans doute une représentation mythologique.
Nous déjeunons dans un restaurant vietnamien et continuons notre balade par le Laugarnes Park avec ses sculptures et son petit pavillon de musique.
le monument au bureaucrate inconnu
On repasse en ville
Le port avec un très beau voilier des gardes côtes américains à côté d’un vaisseau de gardes côtes islandais
Puis nous passons derrière Harpa pour retrouver notre véhicule.
Fin de la journée et retour au camping de Reykjavik.
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Nuit de pluie, jour de pluie, 8° - 11°
Nous trainons au camping et faisons de l’ordi.
À 13 h nous allons déjeuner sur le parking de Perlan que nous allons visiter.
C’est un imposant bâtiment constitué de 6 gros châteaux d’eau chaude qui alimentent la ville et qui a été aménagé en musée avec des expositions sur l’Islande.
Dans une première salle il y a des projections de films qui reconstituent des éruptions et des tremblements de terre sur l’île. Au centre une maquette de l’Islande sur laquelle on peut s’assoir pour ressentir ces phénomènes.
Au centre du bâtiment il y a un grand escalier pour monter en haut des 6 étages et les falaises de Látrabjarg hautes de plus de 400 m ont été reconstituées sur une hauteur de 12 m.
Dans une zone réfrigérée ils ont aménagé une grotte avec de la vraie glace dans laquelle on peut se promener.
Une salle sur les glaciers montre la fonte alarmante des glaciers due au réchauffement climatique.
Une autre salle montre la végétation en Islande, principalement axée sur les mousses. On y voit un plant d’herbe qui pousse dans les dunes et qui possède des racines d’une dizaine de mètres de long. Ces herbes permettent de stabiliser les dunes de sable.
De l’avant dernier étage, on peut faire le tour par l’extérieur de la coupole qui coiffe les six réservoirs et on domine tous les environs car le Perlan est situé sur une colline qui domine Reykjavik.
Aujourd’hui il pleut et la vue est triste et humide.
L’intérieur du dôme abrite un restaurant panoramique circulaire et tournant (le soir) et une cafétéria.
Au sous-sol on trouve une superbe exposition de photos sur les éruptions volcaniques en Islande.
À la sortie nous allons voir des gamins qui s’amusent dans une immense structure gonflable, sans craindre la pluie qui continue.
Vu que le mauvais temps va continuer, nous décidons d’aller au Lava Center d’Hvolsvöllur.
Direction Hveragerði où l'on peut voir de nombreuses colonnes de vapeur qui s'échappent des collines par des sources chaudes.
puis arrêt au camping de Selfoss à 20 h.
Parcours du jour 75 km
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