

Sur le plan mécanique, le Grenadier n’a recours qu’à des schémas basiques et éprouvés. Il repose sur un robuste châssis en échelle où tous les composants, longerons et traverses sont généreusement dimensionnés. La carrosserie vient se boulonner sur ce cadre en échelle. Les solutions choisies pour les trains roulants sont tout aussi ancestrales, les essieux fournis par Carraro étant rigides à l’avant comme à l’arrière. Concession au modernisme (!?) : les ressorts hélicoïdaux…
Des options plus contemporaines se trouvent sous le capot avec le choix de moteurs six cylindres BMW qui sont accouplés à une boîte de vitesses à huit rapports ZF. Dans l’immédiat, on ne parle pas de motorisation électrique ni même hybride. Un parti pris étonnant quand on sait que - notamment sur le marché américain - des marques comme Bollinger ou Rivian ont misé à cent pour cent sur l’électricité pour des véhicules dans le même esprit. Disponible en break et en pick-up à double cabine, le Grenadier a une charge utile de une tonne et peut tracter 3,5 tonnes.
Le développement du Grenadier a été assuré par Magna International, une entreprise autrichienne qui bénéficie d’une longue expérience dans la recherche et l’industrialisation. Elle assure aujourd’hui des séries marginales aussi diverses que la Toyota Supra, la Jaguar I-Pace ou la Mercedes-Benz Classe G et par le passé, elle assemblait notre regrettée Peugeot RCZ.
Source : http://www.caradisiac.com/ineos-grenadi ... 184117.htm
DadEliot a écrit : mer. 1 juil. 2020 20:16 L'alternative ?
Mi def, mi classe G et re mi def derrière !
euro6 a écrit : mer. 1 juil. 2020 20:29 Whaouh !
C'est exactement ce que Land Rover aurait du faire !