Eh oui, comment ne pas penser à Jules Verne ?! Je n'ai pas lu ce roman-là, mais j'en connais grosso modo le déroulement. J'ai dû aussi voir le film, mais pas la dernière version. Moi, c'est celle avec James Mason, qui n'est pas d'hier.euro6 a écrit : ... Quand tu évoques "Voyage au centre de la terre", tu ne crois pas si bien dire, à moins que ton propos ne fut intentionnel ...
Eh oui, Jaclim, comment ne pas rêver d'une excursion sur cet incroyable lac de lave...!?Jaclim a écrit :Alors le prochain, le Nyiragongo
Merci pour cet encouragement. J'ai fait de la haute montagne pendant longtemps puis les genoux s'en sont mélés et dernièrement le coeur en a rajouté une couche. Je suis vite "limité" dans les efforts.euro6 a écrit :Rassures-toi, Jean-Lau, la difficulté de la randonnée n'est pas extrême !
La motivation est un moteur endurant...
Moi qui ne suis pas un randonneur de course, mais juste un marcheur plaisir, je n'ai pas eu à souffrir de cette grimpette. Il ne s'agit en aucun cas d'escalade, mais juste d'une marche à pente constante. Le fait d'être intégré à un petit groupe mené par un guide expérimenté rend également les choses plus faciles. Marco a bien géré le groupe, en freinant l'ardeur des plus jeunes et des sportifs, et en ménageant des pauses régulières toutes des 20 à 30 mn pour garder une troupe homogène. Nous étions le dernier des quatre groupes, donc sans pression des suivants, et surtout avec la possibilité de rester plus longtemps que les autres groupes au sommet. A environ mi-chemin, il est offert la possibilité à ceux qui le souhaitent de redescendre avec un cinquième guide. Parmi la vingtaine de personnes de notre groupe, une seule personne a décidé d'abandonner à ce palier et de rentrer, la mort dans l'âme. Ce fut son choix propre, pensant elle-même qu'elle allait peut-être retarder le groupe, mais je ne suis pas certain qu'elle n'aurait finalement pas pu atteindre le but.
J'ai vécu "au pied" (bon... à 20km) du Nyaragongo pendant 2 ans.Jaclim a écrit :... Alors le prochain, le Nyiragongo...?